Furies Room, studio de renom, perpétue depuis plus d’une décennie une pratique singulière et exigeante : le Face-Slapping, exécuté dans sa forme la plus intense et impitoyable. Bien que ce studio ait connu plusieurs appellations au fil des années, son essence demeure immuable. À travers le temps, il accueille des dizaines, voire des centaines de candidats, tous venus éprouver leurs limites face à l’extrême rudesse de cette discipline. Pourtant, rares sont ceux capables d’endurer de telles épreuves. Seule une poignée de volontaires fait preuve d’une résistance hors norme, acceptant, avec une constance remarquable, des gifles d’une intensité inouïe sur des durées prolongées.

Parmi ces âmes tenaces, une figure se distingue, éclipsant toutes les autres par son abnégation inébranlable : Vincent, un candidat dont l’exceptionnalité réside non dans sa force physique, mais dans son état d’esprit rare et profond.

Qu’est-ce qui rend Vincent si singulier ? Possède-t-il une endurance hors du commun, une constitution exceptionnelle ? Rien de tout cela. Vincent défie les apparences. D’un gabarit modeste — à peine 1,70 mètre — et dépourvu de toute carrure athlétique, il brille par des qualités intérieures puissantes : une abnégation totale et une soumission sincère, absolue.

Là où d’autres recherchent avant tout leur propre plaisir, Vincent se démarque par une motivation profondément altruiste. Il ne trouve pas sa satisfaction dans la douleur qu’il reçoit, mais dans la jubilation qu’il lit dans les yeux de celle qui administre ces gifles. Ce qui le comble, c’est avant tout le plaisir qu’il procure à l’autre. Sa jouissance véritable réside dans l’offrande, dans la satisfaction de voir l’autre s’épanouir.